Thursday, September 18, 2008

Bonheur

Bonheur d’occasion. Le livre. Je l’aime beaucoup, comme presque tous les autres ! C’est vraiment différent des romans français que j’ai lus. J’aime mieux les livres du vingtième siècle. Une des choses que j’aime le plus est l’attention au détail et les descriptions. Ce n’est pas seulement un dialogue d’une vie unique. Gabrielle Roy suit les vies de la famille entière et elle donne plus des informations sur tous les personnages, pas seulement les personnages principaux.
J’ai des mêmes sentiments qu’Erica ; j’ai honte à dire, mais je n’ai pas su beaucoup de la deuxième guerre mondiale au point de vue des Canadiens, et spécifiquement les Canadiens français. Bonheur d’occasion inclus plusieurs des opinions et des perspectifs sur la guerre, le chômage, et la vie quotidienne. Sam Latour est propriétaire de Deux Records, la boîte qu’il a acheté et voulu créer un restaurant d’haute cuisine, et Gabrielle Roy nous donne ses opinions et les opinions des ouvriers et d’Azarius Lacasse et Jean Lévasque dans une conversation chez lui. Nous recevons les points de vues des jeunes hommes différents sur la guerre – Emmanuel, Eugène, et Jean – et un peu de leurs vues à propos des responsabilités des hommes aux autres hommes (dans autres pays, etc.). Nous avons lu les opinions des deux femmes plus âgées, Emma Philibert et Rose-Anna Lacasse, quand ‘leurs’ garçons s’engagent. Je veux remarquer qu’il est intéressant que nous ne savons pas si Florentine pense beaucoup de la guerre (plus que ses remarques sur les uniformes des hommes qu’elle voit dans les chemins…).
Je pense qu’il est fascinant à lire des opinions canadiennes différentes de la guerre et les autres pays (le commentaire sur Tchecquoslovaquie, ou quelque chose comme ça ; les gens qui mange d’ail, etc.). Les choses qui révèle l’ignorance des gens des autres peuples et des autre pays ; ils doivent utiliser des stéréotypes mal-informés car ils ne savent plus. Il y a des aspects d’ethnocentrisme et d’ignorance, et des allusions et indications de la culture des pauvres québécois à Montréal en ce temps.
L’humanité de ce roman, qui décrit les vies quotidiennes des gens extrêmement pauvre, est ce qui m’intéresse. Les détails des personnages qui ne sont pas principaux et les histoires de leurs vies me frappent parce qu’il est nouveau pour moi. Les jeunes comme Pitou et Boisvert, ou la fortitude des femmes comme Rose-Anna (chapitre VII), les différences entre les générations illustrés par Emma Philibert et les quatre jeunes hommes (p. 58). La manque de l’éducation, la lutte à trouver les métiers, le chômage, la pauvreté, les maladies, les déménagements, et les autres choses que la famille Lacasse et les autres pauvres doivent souffrir donnent Bonheur d’occasion un sens de réalité et tristesse que j’aime. Aucun personnage n’est totalement ‘bon’, mais tous sont humains dans la meilleur sens du mot.

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