Saturday, November 22, 2008

L'art quebecois...

La culture et l’art de la Québec

A mon avis, il n’y a qu’une chose qui pourrait capturer l’identité du Québec—et c’est la culture québécoise. Quand je cherchais pour une idée pour le sujet de ma présentation, j’ai voulu créer une présentation sur la culture du Québec. Mais après dix minutes, je me suis rendu compte que le sujet était trop énorme ! C’est impossible de décrire la culture québécoise dans sept minutes. Donc, j’ai choisi seulement une chanteuse pour souligner l’effet de la musique dans leur culture. Mais, dans mon billet de blog je voulais parler de quelques autres aspects de la culture québécoise.

Il y a plusieurs musées au Québec, selon le site-web de la culture québécoise (http://www.gouv.qc.ca/portail/quebec/pgs/commun/portrait/culture/?lang=en) , « Since the early 1970's, Québec's museum network has grown in diversity and quantity. Among its close to 500 museums, 60 % appeared less than 20 years ago ». Le site-web donne une liste d’exemples, et aussi l’histoire de les musees au Quebec.

Aussi, dans le même site-web, on peut trouver l’information des théâtres au Québec. Les compagnies de théâtre comme « Les Deux Mondes », « Ex Machina », et « Le Carrousel » représentent un aspect de la culture québécoise qu’on ne peut trouver ailleurs.

Sur Youtube on peut trouver les vidéos comiques de la culture québécoise, et aussi les vidéos moins amusantes, mais intéressantes quand même. La première vidéo que je voulais souligner était vraiment amusante. C’est un peu bavard, avec quelque gros mots—mais ce n’est pas trop offensif. Cliquez La raison pour laquelle j’ai pensé que la vidéo était intéressante est qu’ à mon avis, les challenges que le musicien a eu dans la vidéo représentent les challenges d’avoir une langue différente que celle de la reste de son pays.

La deuxième vidéo n’est pas aussi drôle, mais c’est informative.
http://www.youtube.com/watch?v=O9o9AS56Yz4


Donc. J’espère que vous avez appris quelque chose de les arts français. Merci.

Friday, November 14, 2008

L'anglais? Ce n'est pas anglais?

J’ai voulu parler de l’évolution de la langue dans les romans que nous avons lus. Beaucoup de nous ont parlé de la signifiance de la langue et le conflit entre les anglophones et les francophones. J’oublie qui a mentionné l’augmentation des personnes qui sont bilingues, mais, à mon avis, cette chose est évidente dans la littérature québécoise.
Louis Hémon a écrit Maria Chapdelaine en 1911 et il y a presque rien en anglais en ce livre. Les romans qui suivent ont beaucoup plus de l’anglais. Bonheur d’occasion, l’œuvre de Gabrielle Roy, inclut seulement l’anglais du personnage Jenny et la langue n’est pas écrite souvent. Cette idée commence à changer avec les romans d’Anne Hébert et Roch Carrier. Anne Hébert écrit en anglais lorsqu’elle décrit le cours et le procès. Il y a des paragraphes entiers qui sont en anglais. Roch Carrier a des personnages anglophones, Molly et les sept soldats, qui parlent l’anglais. Molly et les sept ont l’anglais comme leur langue maternelle, mais les autres comme Bérubé ont appris la langue dans l’armée, etc. Cette nécessité des francophones a appris l’anglais, c’est importante, mais j’ai plus intérêt dans l’inclusion de l’anglais dans le livre. Il y a des phrases, des mots, des conversations qui sont presque tous en anglais dans La guerre, yes sir ! (1968) Il y a une assomption que tout le monde qui lit le roman peut comprendre ces mots. Il n’y a aucune traduction. L’anglais et le bilinguisme sont plus communs, particulièrement après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
J’ai voulu écrire de cette chose parce que j’étais intéressé, particulièrement après les présentations. J’ai vu une augmentation de l’usage de l’anglais dans les conversations et des phrases anglophones. Et, il n’est pas toujours dans une conversation. Il y a des personnages et les canadiens français monolingues qui utilisent des mots et des phrases en anglais qui, souvent, ne savent pas que les mots qu’ils utilisent sont anglais (les histoires de Kyle, etc.). Je l’ai vu dans les romans. Les phrases, mots, et conversations en anglais sont de plus en plus communs dans les livres, des premiers livres aux livres plus récents.

Des villageois ou des enfants?

Comme dans tous les autres romans qu’on a lus, la religion est un thème très important dans La Guerre, yes sir ! Mais dans ce livre, on voit une image de la religion assez particulière. L’histoire suivit les habitants d’un petit village, où la vie est assez simple, et ils n’ont pas trop besoin des pensés très profond dans la vie quotidienne. Alors, lorsqu’on regarde leur religion, on voit des idées plutôt superficielles. Il faut, pourtant, faire la différence entre cette idée-ci et celle qu’on trouve dans Kamouraska. Là, aussi, la religion est superficielle, mais dans une autre sens. Les gens se comportent comme des personnages dans un spectacle ; c’est que l’image qui est important, et ils ne s’intéressent pas dans la vraie foi. Sur l’autre côté, ce n’est pas que les villageois dans La guerre, yes sir ! ne s’intéressent pas dans la foi, c’est qu’ils ne sont pas capables de le comprendre. Par exemple, Madame Joseph décide qu’elle n’est pas si triste que son mari s’est coupé la main, « car il était bien dit dans l’Evangile : « Arrache ta main ou bien jette-la au feu. » » Elle voit cette phrase, et elle l’accepte tout simplement, sans chercher une compréhension plus profonde. Plus important, en fait, c’est le fait qu’il ne lui arrive pas de penser qu’il faut chercher. On voit également des autres exemples, comme « il aurait semblé injuste, à ces villageois, qu’un de leurs enfants fût condamné aux flammes éternelles. » Ca évoque l’image d’un enfant qui crie « C’est pas juste ! » à tout qui ne va pas comme il veut. Pourtant, ce n’est pas un manque de foi, et ils ne font pas semblant. Bien que leurs prières ne sont pas parfaites, « ces gens ne doutaient pas que leur prière serait comprise. Ils priaient avec toute leur force d’hommes, toute leur force de femmes accoucheuses d’enfants. » Pour moi, je peux garder l’idée des enfants, qui crois ce qu’on leur dire, sans question, et sont content avec ça.

Thursday, November 13, 2008

Les Québécois et la Seconde Guerre Mondiale

Roch Carrier, à travers son roman La guerre, yes sir !, nous offre plusieurs questions importantes concernant Québec et la seconde guerre mondiale. D’abord, il illustre le rapport entre l’Angleterre et le Québec. Il y a beaucoup de tensions ici. Les hommes du roman doivent se demander pourquoi il faut aller à la guerre. Selon Madame Joseph, par exemple, « un homme qui n’a pas la courage d’aller à la guerre pour protéger son pays, c’est pas un homme (32). » Mais quel pays et leur propre pays ? Est-ce que c’est le Canada ? Le Québec ? L’Angleterre ? L’allégeance des villageois n’est pas tout à fait tacite. Quand les soldats anglais ont rendu Corriveau à sa famille, son cercueil est couvert avec un drapeau Britannique. C’est curieux que la mère de Corriveau n’a pas reconnu le drapeau de son souverain. En fait, elle l’appel un couverture et les soldats sont offensés. Cette scène dit beaucoup du patriotisme de cette époque. Aux Etats-Unis, par exemple, il y avait un grand sentiment d’une obligation patriotique. On est allé en Europe ou au Pacifique pour se battre pour le pays. Mais ici, il n’y a pas un sentiment analogue. Cette coupure est bien exprimée par l’ignorance de l’ennemi. Prends, par exemple, la dispute entre Arsène est son fils, Philibert. Philibert dit, «J’aimerais bien voir un allemand. Je regarderais comment c’est fait, puis je le tuerais (21). » C’est clair qu’il ne comprends pas la guerre ni son ennemi. Le point de vue de son père n’améliore pas la situation. Finalement, c’est intéressant pourquoi ces hommes ne veulent pas aller à la guerre. A mon avis, ils semblent un peu égoïstes. Ils ne veulent pas mourir. Ca, c’est leur crainte principale. Aux autres pays qui étaient engagé directement dans la guerre, un craint de perdre la liberté ou un crainte d’être vaincre par le fascisme, etc a remplacé cette crainte. Les Québécois, selon Carrier, ne sentent pas comme il faut se battre pour leur propre pays. En fait, il ne comprends pas la guerre, et c’était pas tout à fait correcte pour les juger comme les lâches parce que quelque uns ne veulent pas se battre.

Une Saison dans la Vie d'Emmanuel: une provocation pour une argumentation

J'ai choisi de parler sur Une saison dans la vie d'Emmanuel parceque, bien que ça m'a vraiment offensée, et je ne voulais pas le lire du tout à cause du mépris de l'auteur pour les règles de bienséance du lecteur, je me suis rendu compte que c'était cela que Marie Claire-Blais voulait faire.

Lisant La Guerre, Yes Sir!, je me suis rendu compte tout à coup que Roch Carrier parlait d'exactement la même chose que Marie Claire-Blais. Il a la sexualité, la violence jusqu'à l'absurde, bref, tout ce qui était offensant dans Une Saison dans la vie d'Emmanuel. Mais à part la scène de violence entre Arsène et Berubé, je ne m'en étais pas remarqué autant.

Ecrivant son livre dans la dernière année de la Révolution Tranquille en 1970, Marie Claire-Blais visait à choquer, offenser, pour bien éclaircir ses critiques. Le pléthore de descriptions sexuels ajoutés à l'ivresse enfantile, la misère de la famille et les “déviements morales” des personnages hyperbolisent les problèmes avec l'éducation, la religion et la pauvreté qui éxistaient à ce temps au Québec.

L'éducation était en délabrement, on devait prétendre être “prêtre” ou “nonne” pour pouvoir accèder au domaine de l'éducation, et par conséquent l'Église a été corrompue. De l'autre coté, les décrets de l'Église, trop strictes, empêchaient les habitants du Québec d'adopter de nouvelles moeurs, valeurs et méthodes pour se moderniser et améliorer leur vie. Marie Claire-Blais utilise le choquant de manière à ce que ses arguments de sont pas oubliés. On ne peut pas minimiser la pédophilie, l'ivresse, et la manque d'attention à la santé.

En conclusion, on peut donc voir que ce livre, aussi choquant que c'était, a bien accompli son but: de montrer les problèmes du Québec d'une manière dont ils ne peuvent pas être ignorés.

Qu'est-ce que Carrier veut dire dans son roman...??

J’ai presque fini à lire « La Guerre, yes sir ! » Mais je ne comprends pas tout à fait ce que Carrier veut vraiment dire dans son livre. J’ai recherché Roch Carrier, et j’ai trouvé qu’il est né en Québec, et il a étudié en Nouveau-Brunswick (Nouveau-Brunswick est un seul état du Canada qui reconnaît deux langues, le français et l’anglais, comme des langues officielles). Donc je pense que, c’est-à-dire, il est tellement le canadien français. Mais j’ai l’impression bizarre dans son livre car il a écrit quelques expressions qui diffament les canadiens français. Par exemple, dans la scène des funérailles de Corriveau, les soldats n’acceptent pas ce que Mère Corriveau offert, et ils regardent les villageois dans la chambre, et disent que les canadiens français sont vraiment sauvages. Et aussi il décrit les canadiens français bizarres. Il y a un homme qui coupe sa main soi-même, une femme qui a deux hommes chez elle au même temps, et aussi une femme qui toujours pense de faire l’amour. Moi, j’ai l’impression que Carrier a écrit plusieurs personnages des canadiens français très bizarres. Mais ce que j’ai trouvé de lui est qu’il est un auteur le plus connu dans le canada anglais. J’ai pensé que c’est parce que c’est intéressent qu’il a écrit les aspects bizarres de canadiens français même soi-même, il est né dans l’état du canada français, et aussi il n’a pas l’air d’avoir beaucoup de fierté de canadiens français bien que normalement les canadiens français ont beaucoup fierté de tous ce qu’ils ont ; leur culture, leur langue(comme Mary a dit aujourd’hui… J), etc. Donc, je n’ai pas complètement compris ce que Carrier veut montrer dans son livre. Mais je m’amuse bien de lire ce livre, et l’histoire est très facile de suivre. Mais je ne sais pas si c’est bien pour les étudiants de lire ce livre dans ce cours, mais c’est sûr qu’il y a des sujets qu’ils aiment lire quand même.

La vie dans le village

Ce qui m'intéresse dans La guerre, yes sir!, ce sont les changements et les constantes en comparaison avec Maria Chapdelaine. Comment a changé la vie dans les villages du Québec?
Il y a des aspects qui me souviennent beaucoup des descriptions dans Maria Chapdelaine. Par exemple, "La route qui reliait le village et la gare avait disparu dans la neige comme un ruisseau dans une inondation blanche et aveuglante" (p.32). Comme dans Maria Chapdelaine les routes sont bloquées par la neige et il est difficile de voyager pendant l'hiver. Un développement depuis ses temps, c'est que les petites villages sont assez proche d'une gare qu'on peut y aller en train. Le réseau de chemin de fer s'est développé. Ce qui est pareil entre les deux livres, c'est l'ensemble de la communauté villagoise. Tout le monde connaît les autres et les grandes événements comme la messe le dimanche ou l'enterrement rassemblent toute la communauté. On est ensemble et échange des nouvelles. Bien sûr, la situation et les actions sont plus bizarres dans La guerre, yes sir! et n'ont pas beaucoup de liens avec la religiosité profonde du temps des pionniers.
Une parallèle qui m'a frappée, c'est qu'au Québec des années 40 on se sent encore abandonné en face des événements de la vie. " "Nous ne pouvons rien faire." , avait dit Anthyme. Toute une vie leur avait appris qu'ils ne pouvaient rien faire." (p. 45). Cette résignation et impuissance en face de la mort et la présence des Anglais est comme la faiblesse des pionniers concernant la nature avec Dieu comme seul espoir. La citation souligne ce que rien a changé pendant plusieurs décades ("toute une vie"). Le progrès envers la modernité avec tous ses comforts prend beaucoup de temps dans les petits villages au Québec.