Thursday, September 18, 2008

Après avoir lu Maria Chapdelaine de Louis Hémon, et maintenant que j’ai fini environs un moitié de Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy, ce qui est intéressant c’est que je trouve des similitudes entres les deux œuvres à deux niveaux. Le premier niveau, c’est la question du rôle des femmes à cette époque ; le deuxième niveau, c’est les inclinations pareilles des personnages Maria et Florentine. Les deux œuvres sont composés pendant le vingtième siècle—Bonheur d’occasion juste avant la Seconde Guerre Mondiale, et Maria Chapdelaine juste après la même guerre—alors peut-être c’est pourquoi on peut justifier une conception générale de la femme à cette époque en dépit des différences entre la situation géographique et culturelle de Maria et de Florentine.
Avec Maria on note la soumission de la femme aux besoins de la famille en général. J’imagine qu’il y a des femmes qui diraient que cette position de « la servitude » à la famille, à l’homme de la famille qui travaille pour nourrir la famille, que cette condition démontre un mode de vie « traditionnel » et pas féministe. Premièrement, je trouve que quelqu’un de cette opinion oublie que les femmes dans les familles et les conditions pareilles sont absolument intégrales et nécessaires pour le succès de la famille—en effet alors que la famille pourrait survivre. Avec mon expérience personnelle, les gens dans ma famille qui travaillent la terre (maintenant et pendant l’époque des deux œuvres), les femmes sont les équivalentes des hommes, même que ce n’est pas totalement évident. Vraiment ce sont les femmes qui s’occupent des enfants, du travail de la maison, de leurs hommes qui travaillent pour nourrir la famille, et finalement les femmes travaillent la terre aussi ; alors je me demande quel parti de cette existence ne mérite pas le même respect, le même honneur, et le même besoin (si pas plus) que la contribution des hommes. On peut voir la position intégrale des femmes avec la perte de Laura Chapdelaine ; avec sa morte, le lecteur est rendu compte—avec les membres de la famille Chapdelaine—qu’un membre nécessaire ont été prise de la famille. Donc, Maria a décidé de rester pour prendre le travail de sa mère pour permettre la survivance de sa famille.
Pourtant, il faut souvenir que Maria a choisi de rester au Canada, de rester dans la campagne pour s’occuper de sa famille et de travailler la terre. Encore fois, elle montrait le pouvoir dans une autre façon : le choix de son mari. Pendant les époques précédentes, les jeunes femmes ne possédaient pas toujours (en effet c’était très rare) ce luxe de choisir l’homme avec qui elles partageraient la vie. Peut-être on pourrait dire que Maria est tombée dans cette situation à cause du manque des jeunes belles filles dans sa région, mais en tout cas le lecteur peut noter qu’elle avait le choix entre trois hommes—trois hommes, et avec chaque homme elle pourraient créer une vie extrêmement différente. Et, sans considération pour l’opinion personnelle du lecteur à la question de si elle a choisi l’homme correcte, le fait reste qu’elle a choisi l’homme, elle a choisi sa vie.
De plus, dans la grande ville de Montréal, au début de la Seconde Guerre Mondiale, on peut voir cette situation avec Florentine dans Bonheur d’occasion. Le lecteur note que Florentine joue un rôle très intégral dans sa famille ; vraiment elle est la seule qui soutienne sa famille financièrement. Alors, même qu’elle travaille comme serveuse—un type de travail normalement tenu par des femmes, et donc considéré antiféministe—encore je me demande ce qui est antiféministe avec une femme qui soutienne—et toute seule—sa famille entière. En addition, elle possède le choix à la question des hommes. Comme Florentine révèle au lecteur à la soirée d’Emmanuel :
Eh bien, elle leur montrerait qu’elle savait plaire à Emmanuel, et pas seulement à Emmanuel si elle le voulait, à tous les jeunes gens si elle le voulait, elle leur montrerait qui c’était donc que Florentine ! Ce sentiment de défi, joint à la rapidité de la danse, gonflait son cœur et colorait ses joues. On aurait dit que deux petites lampes s’étaient allumées dans ses yeux—deux petites lampes dont la lueur vacillante mettait un point brûlant dans chacune de ses prunelles…elle était Florentine, elle dansait sa vie, elle le bravait sa vie, elle la dépensait sa vie, elle la brûlait sa vie, et d’autres vies aussi brûleraient avec la sienne. L’hommage d’Emmanuel, son trouble évident, c’était la preuve de tout cela…oui, c’était la preuve qu’elle avait un rare, un réel pouvoir, Florentine, sur les hommes. Cela effaçait tant d’humiliations qui avaient laissé leurs marques dans les replis du cœur. Cela était bon. C’était comme une promesse que Jean ne pourrait faire autrement, lui aussi, que de l’aimer (138).
Alors, avec ce passage on peut voir que Florentine commencent à prendre et à employer son pouvoir comme une femme—son pouvoir de choisir sa vie. Bien sûr, elle a été blessée dans la vie—comme tous autres humains—mais le pouvoir de choisir reste. Ce qui est intéressante, c’est que le pouvoir reste avec un besoin de créer la vie autour des conceptions de l’amour, même avec la possibilité pour les femmes de travailler ; après tout, Florentine gagne si d’argent pour soutenir sa famille entière. On peut se demander si c’est une question de l’époque, ou peut-être une question spécifique aux femmes qui continuent à ce jour de se sentir le besoin de créer une vie autour d'un homme. Pourtant, le fait qui reste, c’est que même avec ces sentiments et ces conditions potentiellement oppressives et antiféministes, la capacité de choix reste pour les femmes, et même pour les femmes si différentes en ce qui concerne leur environnement géographique et culturelle—Maria et Florentine. De plus, je trouve que la définition de la conception du féminisme doit être modifié parce que vraiment le courage, la capacité et le pouvoir de Maria et Florentine illuminent que les femmes sont importantes, essentielles, et cette position faut inspirer la fierté parmi les femmes en général au lieu de créer l’antagonisme contre un mode de vie plus « traditionnel » ; il faut se souvenir que le féminisme se montre dans quelques façons diverses.

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