Thursday, September 4, 2008

Blog 1: la froideur de Marie Chapdelaine

Personnellement, je trouve que Maria Chapdelaine écrit par Louis Hémon m’ennui á cause de trop de détails qui cachent l’histoire. Je pense qu’il n’a pas nécessaire d’écrire les différents genres d’arbre et neige. Pendant que les détails donne l’histoire une peinture spécifique, c’est suffit de dire que les arbres et la neige est une important parti de la vie de Canadiens. Je suggère que l’histoire sera bien s’il y avait moins de détails. Pendant que Maria Chapdelaine ne me fais pas beaucoup de plaisir je trouve qu’il y a éléments intéressants sur l’histoire. Par exemple, on peut faire un rapport par les temps et les sentiments de Maria Chapdelaine. Au début d’histoire il fait froid comme « la froideur » de Maria. Sur page 7 Hémon dit que « La neige gisait épaisse sur le chemin aussi, et sur les champs, car le soleil d’avril n’envoyait entre les nuages gris que quelque rayons sans chaleur… » La neige est comme Marie dans le sens ou les membres jeunes remarques de comment forte elle sur page 12 ou « des jeunes gens fit á Marie Chapdelaine l’hommage de son admiration paysanne : ‘une belle grosse fille ! dit-il… ». Le soleil d’avril est comme le cœur de Maire que ne batte pas sans chaleur au début d’histoire. Elle est une « belle fille presque inaccessible » sans l’amour (13). Mais quand son « printemps » arrive i.e. François Paradis elle pense que « le printemps arrivait, peut-être... ou bien encore l’approche d’une autre raison de joie qui venait vers elle sans laisser deviner son nom… » (16). Donc « la neige gisait épaisse » commence de trouver les rayons avec chaleur et «la froideur » de Maria Chapdelaine commence de faire fondre.

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