Thursday, November 13, 2008

Les Québécois et la Seconde Guerre Mondiale

Roch Carrier, à travers son roman La guerre, yes sir !, nous offre plusieurs questions importantes concernant Québec et la seconde guerre mondiale. D’abord, il illustre le rapport entre l’Angleterre et le Québec. Il y a beaucoup de tensions ici. Les hommes du roman doivent se demander pourquoi il faut aller à la guerre. Selon Madame Joseph, par exemple, « un homme qui n’a pas la courage d’aller à la guerre pour protéger son pays, c’est pas un homme (32). » Mais quel pays et leur propre pays ? Est-ce que c’est le Canada ? Le Québec ? L’Angleterre ? L’allégeance des villageois n’est pas tout à fait tacite. Quand les soldats anglais ont rendu Corriveau à sa famille, son cercueil est couvert avec un drapeau Britannique. C’est curieux que la mère de Corriveau n’a pas reconnu le drapeau de son souverain. En fait, elle l’appel un couverture et les soldats sont offensés. Cette scène dit beaucoup du patriotisme de cette époque. Aux Etats-Unis, par exemple, il y avait un grand sentiment d’une obligation patriotique. On est allé en Europe ou au Pacifique pour se battre pour le pays. Mais ici, il n’y a pas un sentiment analogue. Cette coupure est bien exprimée par l’ignorance de l’ennemi. Prends, par exemple, la dispute entre Arsène est son fils, Philibert. Philibert dit, «J’aimerais bien voir un allemand. Je regarderais comment c’est fait, puis je le tuerais (21). » C’est clair qu’il ne comprends pas la guerre ni son ennemi. Le point de vue de son père n’améliore pas la situation. Finalement, c’est intéressant pourquoi ces hommes ne veulent pas aller à la guerre. A mon avis, ils semblent un peu égoïstes. Ils ne veulent pas mourir. Ca, c’est leur crainte principale. Aux autres pays qui étaient engagé directement dans la guerre, un craint de perdre la liberté ou un crainte d’être vaincre par le fascisme, etc a remplacé cette crainte. Les Québécois, selon Carrier, ne sentent pas comme il faut se battre pour leur propre pays. En fait, il ne comprends pas la guerre, et c’était pas tout à fait correcte pour les juger comme les lâches parce que quelque uns ne veulent pas se battre.

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