Friday, November 14, 2008

L'anglais? Ce n'est pas anglais?

J’ai voulu parler de l’évolution de la langue dans les romans que nous avons lus. Beaucoup de nous ont parlé de la signifiance de la langue et le conflit entre les anglophones et les francophones. J’oublie qui a mentionné l’augmentation des personnes qui sont bilingues, mais, à mon avis, cette chose est évidente dans la littérature québécoise.
Louis Hémon a écrit Maria Chapdelaine en 1911 et il y a presque rien en anglais en ce livre. Les romans qui suivent ont beaucoup plus de l’anglais. Bonheur d’occasion, l’œuvre de Gabrielle Roy, inclut seulement l’anglais du personnage Jenny et la langue n’est pas écrite souvent. Cette idée commence à changer avec les romans d’Anne Hébert et Roch Carrier. Anne Hébert écrit en anglais lorsqu’elle décrit le cours et le procès. Il y a des paragraphes entiers qui sont en anglais. Roch Carrier a des personnages anglophones, Molly et les sept soldats, qui parlent l’anglais. Molly et les sept ont l’anglais comme leur langue maternelle, mais les autres comme Bérubé ont appris la langue dans l’armée, etc. Cette nécessité des francophones a appris l’anglais, c’est importante, mais j’ai plus intérêt dans l’inclusion de l’anglais dans le livre. Il y a des phrases, des mots, des conversations qui sont presque tous en anglais dans La guerre, yes sir ! (1968) Il y a une assomption que tout le monde qui lit le roman peut comprendre ces mots. Il n’y a aucune traduction. L’anglais et le bilinguisme sont plus communs, particulièrement après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
J’ai voulu écrire de cette chose parce que j’étais intéressé, particulièrement après les présentations. J’ai vu une augmentation de l’usage de l’anglais dans les conversations et des phrases anglophones. Et, il n’est pas toujours dans une conversation. Il y a des personnages et les canadiens français monolingues qui utilisent des mots et des phrases en anglais qui, souvent, ne savent pas que les mots qu’ils utilisent sont anglais (les histoires de Kyle, etc.). Je l’ai vu dans les romans. Les phrases, mots, et conversations en anglais sont de plus en plus communs dans les livres, des premiers livres aux livres plus récents.

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