Tuesday, October 7, 2008

Après avoir lu quelques chapitres du roman Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy, je croyais que je le détestais. Mais après une période du temps, je suis venue d’adorer le roman dans quelques aspects. Comme une femme, je me sens que je peux dire qu’il me semble qu’il y a une période du temps dans la vie de presque chaque femme dans laquelle elle voudrait l’amour d’un homme pour les raisons immensément inappropriées. Avec Bonheur d’occasion, le lecteur peut voir que Florentine a choisi Jean Lévesque comme sujet de son obsession amoureuse pour quelques raisons terribles. Comme serveuse à Quinze Cents, Florentine doit étouffer sa fierté et serve un nombre des hommes qui la traitent relativement mauvaise en la rendant des regards et des mots suggestifs et inappropriés. En effet, même que Florentine est impressionnée avec l’ambition de Jean—ses études des mathématiques qu’il apporté au restaurant pendant il a pris le déjeuner—et son travail, c’était seulement sa propre ambition, sa pauvreté—en ce qui concerne les aspects financières et de plus son respect de soi—qui la poussaient de poursuivre Jean parce que franchement il ne lui rendait jamais l’amour vrai ou même le respect. Vraiment, un élément qui était intégrale du commencement de son histoire avec Jean, c’était cette pauvreté ; en dépit de ses mots affreux pour elle, Florentine a commencé de considérer Jean simplement parce qu’elle croit qu’elle ne possède rien enviable dans la vie :

Et Marguerite lui souffla à l’oreille :
—Je serais pas fâchée qu’y me fasse de l’œil, moi, ce gars-là. Je le trouve-t-y de mon goût un peu !
Et dans le cœur de Florentine la rage s’adoucissait déjà, mêlée à l’agréable sensation d’être enviée. Jamais dans sa vie elle n’avait apprécié la possession de pauvres objets, d’amitiés passagères ou même de souvenirs épars qu’à travers d’autres yeux que les siens (23-24).

Alors, dans le personnage de Florentine je vois le caractère de beaucoup de femmes qui choient de créer—de forcer—l’amour dans quelques situations horribles, et de plus, dans le processus ces femmes rejettent l’amour vrai avec un autre homme, un homme qui serait vraiment magnifique. En fin de compte, j’espère que les autres femmes peuvent voir que l’amour c’est un sentiment vrai, et comme Rose-Anna essaie à prévenir à sa fille que « [le] mariage, c’est sérieux, ma Florentine » (362). Même pour moi, pareil à beaucoup des autres femmes, j’apprenais la différence entre un désir d’être aimée et de trouver une vie enviable—et à cause de ce désir de forcer ou de continuer les relations avec un homme pour ces raisons ou les autres raisons fausses—et l’amour vrai qui n’exige que deux personnes qui aiment l’un l’autre construiront leurs vies ensembles.
De plus, avec ce roman je me suis rappelée à l’amour d’une mère pour sa fille. Très souvent, il me semble que notre société traite les relations familiales avec la nonchalance quand en effet la famille, c’est la fondation de la société. Vraiment en lisant ce roman, spécifiquement en lisant la nostalgie de Rose-Anna qui pensait toujours à sa famille, à son amour pour son aînée Florentine même quand cet amour n’était pas exprimé, cela me fait pensait à ma propre mère et nos relations. Toujours un enfant pense que les parents seulement prêchent mais vraiment c’est à cause de l’amour qu’ils décident de partager leurs expériences dans la vie avec un enfant alors que l’enfant peut améliorer la vie.
Finalement avec ce roman, j’ai noté un élément d’une critique anthropologique. Bien sûr il y a une question du rôle de la guerre dans la vie—si la guerre satisfait un nationalisme français qui reste avec une partie des canadiens, notablement Azarius, si la guerre est un moyens pour les hommes menacés par la société pour redevenir les hommes (selon Emmanuel), ou si la guerre est seulement un moyens pour les chômeurs et les gens pauvres de trouver un chemin pour améliorer leurs vies financièrement. Après tout, selon Florentine :

Parfois elle éprouvait encore cependant comme un saisissement à la pensée de cet argent qui leur serait donné à elles, les femmes, pendant que les hommes risqueraient leur vie ; et puis, n’aimant pas ces réflexions, elle recommençait ses calculs ; elle se trouvait riche, elle se proposait d’acheter ceci et cela, elle se réjouissait au fond de la tournure des événements, car sans la guerre où seraient-ils tous ? Elle se sentait un peu éblouie, très fière, très soulagée…(404-405).

Bien sûr Emmanuel approche la guerre (et plus généralement, la société) d’un côté extrêmement différent, d’un côté relativement philosophique et humaniste. Même qu’il a commencé avec une idée de regagner son rôle d’un homme, son opinion envers la guerre puis était inspirée par le nationalisme d’Azarius, et en fin de compte illustrait la pensée que la guerre est seulement une force destructive. Pour moi, je trouve qu’il a fini en pensant qu’il, comme ses amis (Boisvert, Pitou et Alphonse qui étaient des chômeurs), était une victime d’une violence structurelle—une condition dans laquelle la structure de la société menace l’individu. En voyant une femme âgée à la gare pendant son départ pour la guerre :

C’était une petite vielle, inconnue de lui, très mince, doucement résignée, et qui semblait perdue parmi des étrangers. Un instant, leurs regards se pénétrèrent. Et Emmanuel comprit dans le même instant. L’humble femme remuait les lèvres comme pour lui adresser un message ultime. Les mots ne parvenaient pas à Emmanuel, mais il perçut au mouvement des lèvres, qu’elle disait, rien que pour lui : « Ca finira. Un jour, ça finira. Un jour, ça prendra fin. » Une lumière intérieure éclaira Emmanuel. C’était donc cet espoir diffus, incompris de la plupart des hommes, qui soulevait encore une fois l’humanité : détruire la guerre (400).

Alors avec cette citation on peut voir quelques éléments qui adressent la société—ce que c’est d’être un homme ? Quelqu’un qui pousse pour la guerre pour trouver leur essence mâle ?—Après tout, Emmanuel nous révèle que beaucoup des hommes n’achèvent pas son perspectif contre la guerre, où plus spécifiquement, que le but de la guerre, c’est de détruire la guerre. De plus, qu’est-ce que c’est la fonction des humains dans la société et leurs rôles réciproques dans la société ?—Est-ce qu’on doit combattre et en fin de compte mourir pour une société qui ne vous protège pas, comme les chômeurs et les pauvres qui engagent pour survivre dans la même société que les oublie ? Alors, vraiment c’était un plaisir de lire Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy parce que je crois que le roman illustre les questions en ce qui concerne la société, l’existence de l’individu, l’amour, la famille et quelques autres aspects qui sont intégrales de ce que c’est d’être humain.

No comments: