Le rapport entre les mères et leurs enfants dans Maria Chapdelaine et Bonheur d’Occasion est un rapport de dépendance. Les mères sont toujours dépendant sur leurs enfants. Dans Maria Chapdelaine, la mère était capable, mais quand même était dépendante de ses fils pour faire le travail dans les champs avec leur père. Dans la maison, elle était dépendante de Maria qui faisait le ménage quand la mère était fatiguée. Dans un sens moins littéral, la Mère Chapdelaine a eu besoin d’entendre les expériences de Maria. Elle était nostalgique de sa jeunesse. C’est une dépendance plus psychologique. Aussi, dans Maria Chapdelaine, la mère a dépendu sur Maria juste avant que la mère soit morte. C’est vrai que les enfants étaient également dépendants de leur mère, mais leur dépendance était une dépendance naturelle. C’est normal pour un jeune enfant d’avoir besoin de sa mère. Est-ce que c’est assez normal pour une mère d’avoir besoin de ses enfants ?
Dans Bonheur d’Occasion il y’a aussi un rapport de dépendance entre Florentine et sa mère. Florentine a fait son travail pour sa famille. Ses parents n’ont pas pu entretenir leur famille. La différence du rapport dans Maria Chapdelaine et Bonheur d’Occasion et que dans Maria Chapdelaine la famille habite dans une ferme où il faut que tout le monde fassent ses devoirs. Donc, peut-être tout le monde est dépendant de quelqu’un d’autre. Dans Bonheur d’Occasion, ce n’est pas une ferme, alors, il n’ y’a pas beaucoup de choses à faire chez les Lacasse. Si la famille va survivre, il faut que quel qu’un trouve un job. Donc, la mère a dépendu sur Florentine pour gagner de l’argent pour la famille. Est-ce que Florentine a dépendu sur sa mère ? Pas vraiment.
Les deux mères ont dépendu sur leurs enfants dans une façon ou un autre. Peut-être ce thème se présente dans beaucoup de livres québécois. Je crois que les mères ont toujours une dépendance sur leurs enfants, mais c’est plus fort dans ces deux livres.
Thursday, October 23, 2008
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